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Dirigeants, comment faire en sorte que votre start-up résiste à l’épreuve du temps et puisse atteindre la rentabilité ou attirer les investisseurs en vue d’une revente ? Tout ce qu’il faut savoir, avec Avocats Picovschi.
SARL, SA, SAS... des structures « sur-mesure »
Dès le départ, l’avocat expert en droit des affaires est là pour vous guider, notamment quant au choix du type de société qui conviendra le mieux : la société à responsabilité limitée (SARL), la société par action (SA) ou la société par action simplifiée (SAS), pour ne nommer que les plus connues et les plus usitées. Sans oublier la société en nom collectif (SNC), protectrice des intérêts des associés et attractive pour les créanciers, ou encore la société en commandite par actions (SCA), qui distingue entre associés « commanditaires » et associés « commandités ». Mais quelle que soit la forme juridique de votre entreprise, votre décision devra être guidée par certaines caractéristiques dont vous souhaitez que celle-ci bénéficie : le nombre d’associés, le degré de risque que vous souhaitez prendre, son développement. La simplicité et la souplesse du dispositif, tout aussi importantes, pèseront dans la survie de votre entreprise.
« Crowdfunding » ou « business angels »...
Les startups créées dans l’objectif d’une revente rapide, sous 3 à 5 ans, n’auront évidemment pas la même stratégie que celles qui veulent perdurer, et qui chercheront donc pour leur part à dégager du chiffre d’affaires. Il s’agit alors, dans ce premier cas, de valoriser la start-up dans un court délai plutôt que de la rentabiliser.
Dans ce cadre, il vous sera peut-être nécessaire de souscrire un emprunt, ou le cas échéant de faire appel à d’autres investisseurs en réalisant des levées de fonds. Là encore, l’avocat a son rôle à jouer dans la gestion des relations avec les investisseurs, la procédure, la rédaction de contrats, etc. Vous aurez peut-être recours au financement participatif (« crowdfunding ») ou au prêt participatif (« crowdlending »), qui sont particulièrement prisés dans l’immobilier. Si votre structure est innovante, vous aurez peut-être la possibilité d’attirer des « business angels », qui pourront eux aussi apporter leur pierre à l’édifice.
...des risques bien présents
Sachez néanmoins que ces opérations ne sont pas sans dangers. Les risques de pertes de capital restent bien présents et l’arrivée d’un nouvel actionnaire étranger peut peser dans vos futures décisions. Il s’agit donc d’être très attentif à la rédaction des statuts et du pacte d’associés ou d’actionnaires.
Avocats Picovschi, grâce à son expertise en droit des entreprises, peut vous aider à prendre la décision qui vous conviendra le mieux et mettra votre start-up le plus à l’abri possible, mais aussi vos associés et vous. En cas de difficultés avec des créanciers ou l’administration fiscale, notre expérience du contentieux peut également vous être profitable.
Sources : Insee première n° 1639, mars 2017, 1001startups.fr, www.challenges.fr (26/06/2017)